Description
Produit artisanal de Madagascar
Malgaches et Réunionnais se sont souvent revendiqué la paternité de ce Bracelet esclave ou “jonc sakalava”. Il semblerait que ce bijou ethnique ait une origine Mozambicaine, mais on le retrouve également dans les tribus des hauts plateaux de la grande île. Historiquement c’est un bracelet masculin, qui aurait fait son apparition dans les colonies françaises au bras des esclaves. Devenu bijou emblématique des îles de l’océan indien (Île de la Réunion, Madagascar, mais aussi île Maurice) il a traversé les générations pour ne plus quitter le poignet des hommes de la région océan indien. Bijou simple d’entretien, que l’on laisse en permanence au poignet, seul ou en accompagnement d’autres bracelets en argent pour femme ou plus fantaisistes, c’est tout naturellement que ces joncs ont fini par investir les poignets féminins, mais également celui des enfants . Il existe différentes versions de ce jonc en argent pour femme, celui ci arborent des motifs ciselés sur la tête du bracelet, nous avons un peu modernisé par des pierres grenat et pour embellir le tout nous avons donné une petite touche de tête de zébu sur l’autre tête. Nous avons choisis le grenat car il favorise l’apport d’énergie et de vitalité ainsi du courage pour entreprendre des projets et mieux cerner ce que l’on veut pour aller droit au but. Il existe deux façons de le porter, les têtes du bracelet vers le haut, ou vers le bas, selon l’effet escompté.
Le conseil : ce bracelet mixte est fabriqué de façon artisanal, généralement à partir d’un fil d’argent que l’on étire et que l’on travaille, et que l’on cisèle. Traditionnellement le jonc esclave n’est pas conçu pour être retiré et renfilé tel un bracelet classique, c’est un bijou que l’on garde au poignet.
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